Non je n’ai pas changé d’avis. Je m’accroche à ce chemin que j’ai choisi. Et même s’il n’est pas très praticable en ce moment, je m’obstine. Quitte à boiter au gré de mes humeurs. Je suis une tête de mule ne l’oublie pas. Aller, arrête de faire cette tête, je sais que ça te plaît.

Je vois les choses autrement. A chaque moment. A chaque instant. Je me sens différent. Jamais le même. J’avance et je le sens. Saches que même si tu mettais une montagne entre nous, elle ne m’écarterait pas de ce chemin.

Parce que pour pouvoir le pratiquer, j’use de nos souvenirs comme béquille. Avec une certitude. Celle que ça en vaut la peine.

Et ce syllogisme de Brigitte.

Il faut souffrir pour être beau.
Je suis beau avec Toi.
Je souffrirai pour être avec Toi
.

Oui je sais, “non tu ne me fatigues pas… tu me saoules”.

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