Je l’aime. Je n’y peux rien. Je les aime.

J’aime mon copain. C’est amusant comme les choses se sont faites naturellement. De balades en balades, main dans la main et petits mots sur l’oreiller. Je ne connais pas le futur. Pas celui-ci en tout cas. Mais je sais que le présent est agréable avec lui. Mes cicatrices sont plus jolies. Mon coeur moins lourd. Je remercie le Roi des Rois de me l’avoir envoyé.

J’aime ce garçon. Je l’ai rencontré. J’ai pris son bras et juré que je ne le lâcherai plus. J’ai ensuite posé ma tête sur son épaule et lui ai offert l’affection dont il manquait. Nos rapports sont compliqués. Des deux côtés avouons-le. Mais le voir pleurer aujourd’hui m’a rappelé o-combien je l’aimais. Parce que pour moi il est atypique. Beau de l’extérieur et magnifique de l’intérieur.

Alors oui je ne les aime pas de la même façon. Mais je les aime.

Tout comme j’ai aimé les messages pour mon anniversaire. Ces deux-là ont rusé. Le premier m’a bombardé de messages sur tous les supports possibles. Le second a volontairement été le dernier. Le 02 Décembre 2008 à 23h59. “J’ai été le premier l’année dernière, je suis le dernier cette année. Il faut bien que je me fasse remarquer”.

Des messages j’en ai eu. J’ai changé de numéro il y a quelques temps et pourtant j’en ai eu plus que d’habitude. Les habituels. Les comiques. Les adorables. Les courts. Les longs. Et les inattendus. Comme le Sien.

Merci d’avoir pensé à moi.

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